A propos de nous

Contribuer à la santé des survivantes de violence familiale dans les procédures de droit de la famille



À propos du projet

Ce projet est financé par l’Agence de santé publique du Canada et est conçu pour satisfaire le besoin unique des survivantes de violence familiale au sein du système de justice lié à la famille. Les centres de recherche sur la violence perpétrée contre les femmes au Canada créeront, hébergeront et viendront soutenir une communauté de pratique ( CdP ) composée d’experts en matière de violence familiale, de survivantes, d’avocats en droit familial, de chercheurs, de professionnels du domaine de la santé mentale et de travailleurs sociaux.  
 
Le principal objectif du projet est d’ améliorer le soutien aux survivantes de violence par l’intermédiaire du système de justice familiale en multipliant les occasions de formation, d’orientation et de ressources pour soutenir une pratique tenant compte des traumatismes pour les praticiens du droit de la famille, et pour améliorer la coordination des services, ce qui viendra rehausser la sécurité et le bien-être de toutes les personnes impliquées.   

Parmi les principaux objectifs du projet mentionnons (de novembre 2020 à novembre 2023) 

  1. Favoriser la communication, la collaboration et la création de relations entre les experts des secteurs de la violence familiale et du droit de la famille;  
  2. Élaborer et communiquer des lignes directrices et des ressources fondées sur des bases factuelles dans le but de traiter les questions soulevées par ces sujets de préoccupation;  
    Offrir des occasions d’apprentissage visant à développer les compétences des praticiens dans les domaines de la prévention de la violence et du droit familial;   
  3. Promouvoir des initiatives en ce qui a trait à la recherche et à l’évaluation afin d’explorer des stratégies efficaces visant à aider les victimes, les auteurs et leurs enfants à profiter des interventions dont ils ont besoin dans le cadre des procédures des tribunaux de la famille;  
  4. Soutenir une mobilisation des connaissances accrue dans le domaine.   

     

Livrables     

Lignes directrices et ressources d’information sur :  

  1. la façon de gérer la COVID-19 et les victimes de violence familiale impliquées dans des conflits concernant la garde et l’accès, et ce, tout en respectant les différences régionales et les diverses réalités;  
  2. les enjeux fondamentaux liés à l’évaluation des risques, la planification de la sécurité et les stratégies de gestion des risques pour les victimes de violence familiale devant les tribunaux de la famille;  
  3. les interventions tenant compte des traumatismes pour les victimes de violence familiale devant les tribunaux de la famille;  
  4. les webinaires régionaux et nationaux sur les questions soulevées par une communauté de pratique.  

  

      

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Cochercheuses  
       


sy-bio-pic.jpgSarah Yercich

Sarah Yercich (elle/il) est une criminologue critique, une sociologue, une chercheuse, une éducatrice et une militante dans le domaine de la violence fondée sur le genre. Elle est titulaire d'un doctorat en criminologie de l'université Simon Fraser (2021) et d'une maîtrise en criminologie appliquée (2009) de l'université Northern Arizona. Sarah est directrice associée du FREDA Centre for Research on Violence Against Women and Children (Centre FREDA de recherche sur la violence à l'égard des femmes et des enfants) à l'université Simon Fraser, un centre de recherche communautaire à but non lucratif dont l'objectif est de lutter contre la violence fondée sur le genre par le biais du droit, de la politique et de la pratique. Elle est professeur adjoint à l'école de criminologie de l'université Simon Fraser à Burnaby, en Colombie-Britannique, et instructeur à temps plein au département de sociologie et de criminologie de l'université Capilano à North Vancouver, en Colombie-Britannique. À l'université Capilano, Sarah a une nomination conjointe au département d'études sur les femmes et le genre, où elle est présidente du département et instructrice. Sarah est également rédactrice en chef de la revue Western Criminologist. L'approche de Sarah en matière de recherche, d'enseignement et de plaidoyer est centrée sur les explorations juridiques critiques, intersectionnelles, socio-juridiques et féministes de la violence, de la victimisation, de la criminalité/criminologie, de la criminalisation, du droit, de la politique publique et sociale, et de la société en général, ainsi que sur la science de l'enseignement et de l'apprentissage (SoTL) et l'éducation en milieu carcéral.

Karla O’Regan     karla oregan photo

Mme O'Regan est professeure agrégée de criminologie à l'Université St-Thomas et chargée de cours à temps partiel à la faculté de droit de l’Université du Nouveau-Brunswick. Diplômée de l'Université St-Thomas, Karla est également diplômée en droit de l’Université de Toronto, de l'Université Dalhousie et de la London School of Economics. Elle est membre du Barreau du Haut-Canada et a travaillé pour le ministère fédéral de la Justice, le Bureau de l'avocat des enfants de l'Ontario et le secteur juridique privé. Karla a été agente des plaintes dans le cadre de la politique sur le harcèlement et la discrimination de l'Université St-Thomas pendant cinq ans et a présidé le comité d'éthique de la recherche de l'Université de 2014 à 2018. Elle agit à titre de superviseure de projet pour Pro Bono Students Canada et est membre (élue par la faculté) du Conseil des gouverneurs de l'Université St-Thomas. Mme O'Regan siège également au Comité d'éthique de la recherche du CCNB et a siégé au sein de plusieurs conseils d'administration communautaires et régionaux, parmi lesquels la SPCA de Fredericton, Dialogue NB et la Commission de l'enseignement supérieur des provinces Maritimes. Elle travaille actuellement avec le Centre d'aide aux victimes d'agression sexuelle de Fredericton et la Force policière de Fredericton dans le cadre d’une vérification des dossiers d’allégations non fondées d'agression sexuelle. Son livre, « Law & Consent : Contesting the Common Sense » (Droit et consentement : à l’encontre du bon sens) (Routledge) a été publié au printemps 2019.


dominique bernier photoDominique Bernier

Dominique Bernier 
est membre du Barreau du Québec depuis 2008 et elle détient un doctorat de l'Université d'Ottawa depuis 2017. Elle s’intéresse aux alternatives et aux parcours différents dans le système judiciaire québécoisSes études doctorales portaient sur les pratiques de contrôle  et les interventions du système judiciaire pour les usagers de drogue et  d'alcool. Elle est actuellement professeure au Département des sciences juridiques de l'Université du Québec à Montréal. Ses recherches portent aussi sur l'auto-représentation et l'accès  la justice, la reconnaissance de la violence conjugale en droit familial et en droit  criminel et sur les - lieux juridiques ou non - de dénonciation des violences faites aux femmes.    
 



kendra nixon photoKendra Nixon  

Kendra
  Nixon est professeure agrégée à la faculté de travail social de l'Université du Manitoba. Le programme de recherche global de Mme Nixon est axé sur la violence fondée sur le genre et comprend des recherches sur la violence conjugale, l'exposition des enfants à la violence, le maternage dans un contexte de violence, l'homicide familial, le suicide et la violence, et l'exploitation sexuelle. Ses recherches ont principalement porté sur les politiques visant à réduire la violence, ainsi que sur les réponses institutionnelles à la violence conjugale, y compris les systèmes de protection de l'enfance et de justice pénale. Mme Nixon est également directrice de RESOLVE, un réseau de recherche albertain, saskatchewanais et manitobain sur la violence familiale et sexiste. Les intérêts de Mme Nixon en matière d'enseignement comprennent la politique de bien-être social, l'analyse des politiques et la recherche qualitative.   
 



margaret_jackson_photo.jpgMargaret Jackson

Margaret Jackson est professeure émérite à l'école de criminologie et directrice du FREDA Centre à l'université Simon Fraser. Elle a été la chercheuse principale d'une étude du ministère fédéral de la Justice sur la maltraitance des enfants. Ses autres domaines de recherche comprennent l'analyse des politiques de justice pénale, les tribunaux spécialisés dans la résolution des problèmes et, plus récemment, l'intimidation et la cyberintimidation. Margaret se concentre principalement sur les questions de recherche liées à la violence familiale et ses effets sur les femmes et les enfants.
  
       




peter headshot 20 Peter Jaffe

Le D r Peter Jaffe est psychologue, professeur et directeur de l’enseignement du Centre for Research and Education on Violence Against Women & Children à la Faculté d’éducation de la Western University. Il a participé à la rédaction de 11 livres, 40 chapitres et plus de 80 articles portant sur la violence conjugale, les répercussions de la violence conjugale sur les enfants, la prévention des homicides et le rôle des systèmes de justice pénale et de droit familial. Au cours des 30 dernières années, il a présenté des ateliers partout aux États-Unis et au Canada, mais aussi en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Costa Rica et en Europe à différents groupes, incluant des juges, des avocats, des professionnels de la santé mentale et des éducateurs.  Depuis 1999, il est enseignant pour le National Council of Juvenile & Family Court Judges aux États-Unis pour le programme de formation des juges intitulé « Enhancing Judicial Skills in Domestic Violence Cases ». Il a été membre fondateur du Comité d’examen des décès dus à la violence familiale du Bureau du coroner en chef de l’Ontario. Il a également joué un rôle clé dans la création de programmes de prévention de la violence pour les écoles. De concert avec David Wolfe, Claire Crooks et Ray Hughes, il a contribué à l’élaboration du curriculum intitulé « The Four R: Skills for Youth Relationships » qui cible différentes formes de violence, incluant l’intimidation et la violence dans les fréquentations et entre les pairs. Le curriculum est utilisé dans plus de 5 000 écoles au Canada et aux États-Unis.


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Katreena Scott 

Katreena Scott est psychologue, professeure et prochaine directrice du Centre for Research and Education on Violence Against Women and Children de la Western University. Elle a été détentrice de la 
Chaire de recherche du Canada sur la prévention et l’intervention en matière de violence familiale  entre 2008 et 2018. La D re Scott est à la tête d’un programme de recherche appliquée visant à mettre un terme à la violence dans les relations familiales, avec une compétence particulière dans le traitement de la perpétration de la violence par des hommes. Le programme Caring Dads, qu’elle a mis sur pied, est offert sur plusieurs sites partout en Amérique du Nord et en Europe. Elle participe aux activités de réseaux internationaux, incluant le DV@Work Network et le Safer Families Centre of Research Excellence.

 
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Lisa Heslop  

Lisa Heslop a rejoint l’équipe du Centre de recherche et d’éducation sur la violence contre les femmes et les enfants (CREVAWC) après une carrière s’étendant sur plusieurs années à la tête d’une équipe d’intervention clinique auprès du service de police de la ville de London en Ontario. Elle dirige ou co-dirige des projets du CREVAWC reliés à la violence familiale et au droit de la famille. Sa recherche principale porte sur l’évaluation du risque de récidives de gestes de violence entre partenaires intimes (VPI) — et en particulier sur l’utilisation par des femmes de la force contre un partenaire intime en tant qu’acte de résistance.

           

  

Ou nos centres de recherche partenaires :

 

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